Bonjour, depuis combien de temps cours-tu ?
A vrai dire depuis très longtemps. J’ai débuté lorsque j'étais étudiant, mais de manière très irrégulière et sur d'assez courtes distances. J’ai repris une pratique régulière il y a une dizaine d'années, quand je dis régulière, jamais plus d'une ou deux sorties par semaine. Et puis avec des proches, on s'est inscrit à quelques courses de niveau semi-marathon, ce qui m'a donné envi d'enchaîner sur des marathons. Ma motivation n'est pas du tout la performance, mais simplement de me sentir bien et d'équilibrer un mode de vie plutôt centré sur les activités intellectuelles.
Comment en es tu venu à participer à la Course du Cœur ?
Je connaissais la Course du Cœur pour avoir déjà sponsorisé une équipe dans un passé récent. Aussi, quand, à peine arrivé chez Silca, on m'a proposé que l'entreprise participe à ce challenge, j'ai trouvé que c'était une excellente idée, fédératrice et en ligne avec les valeurs dont nous souhaitons faire la promotion. Je n'avais pas compris à l'époque, qu'en soutenant la participation de Silca, je me mettais tout seul dans la seringue. Mais quand on m'a demandé, il y a un mois, de rejoindre l'équipe, et indépendamment de mon manque patent d'entraînement, j'ai été très sensible à l'invitation et j'ai accepté avec grand plaisir.
Tu seras dans quel relais ?
Le relais C. Avec Thierry, Fabien et David. J'avoue que je n'ai pas eu le temps de beaucoup m'investir dans la préparation, j'ai juste compris que pour notre relais, la difficulté allait crescendo, une promenade de santé mercredi, un jeudi plutôt facile, mais qu'après, cela se corsait nettement avec notamment la nuit de vendredi à samedi. L'équipe, je ne la connais pas beaucoup, mais je me réjouis vraiment de pouvoir, sur un mode un peu décalé par rapport aux codes de l'entreprise, établir une vraie relation interpersonnelle. De ce point de vue, la pratique du sport en commun est un puissant fédérateur.
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