Pourquoi manque-t-on d’organes à greffer ?
Le prélèvement d’organes n’est possible que dans des circonstances rares. Les donneurs sont des personnes décédées à l’hôpital après un traumatisme crânien, un accident vasculaire cérébral ou parfois après un arrêt cardiaque. Cela concerne moins de 1 % des personnes qui décèdent à l’hôpital ; près de 94 % des greffes sont réalisées en France grâce à un donneur décédé.
Par ailleurs, près d’un prélèvement possible sur trois est refusé. Soit par le défunt lui-même, qui avait déclaré son opposition au don d’organes. Soit par la famille, souvent parce qu’elle ignore ce que le défunt aurait souhaité et qu’elle préfère donc dire qu’il était opposé au don par précaution.
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